This piece, based on all that is inexpressible, refers to the eternity of minerals (rocks and water) and the eternity of time always sought by humans (monk chants). But beyond the eternal voices of rocks and monks, there is the human being who is expressed in the processing of musical objects: recordings of percussion on rocks and water sounds, natural or somewhat unprocessed, and the ’natural’ voice of Tibetan monks, which have never been processed or artificially created by the digital processing of voices. Contrasts leading to human rhythmic sequencing are so artificial; but percussion on rocks are so natural. The promise is a kind of meditation developed with all used sound objects.
Cette pièce, fondée sur l’indicible, fait référence à l’éternité minérale (roches et eau) et l’éternité recherchée de tout temps par l’homme (chants de moines). Mais au-delà des voies/voix éternelles des roches et des moines, il y a l’humain qui se manifeste par le traitement des objets musicaux : enregistrements de percussions sur des roches et bruits d’eau, naturels ou peu traités, et voix de moines tibétains « naturelles », peu traitées ou artificiellement créées par traitement numérique de la voix. Contrastes aboutissants à une séquence rythmique humaine, donc artificielle, de percussions sur des roches, donc naturelles. La résolution est une sorte de méditation élaborée avec tous les objets sonores utilisés.