"For performance: all instruments are miked(sic) and mixed through a sound system except possibly the tom-toms."
Michael J. Baker In Paradisum, 1982 Commissioned by: Les Grands Ballets Canadiens “The beauty of In Paradisum is its gradual evolution into acquiescence. The pace of the movements relaxes and the music softens into a soft rhythm of repeating notes that are haunting and ominous and vaguely sad. The final scene – of redemption – is visually elevating: a funeral procession, with a body lifted aloft like a coffin, offered up to heaven along a shaft of light.” Matthew Fraser, The Globe and Mail, March 8, 1986 « Faut-il le répéter, In Paradisum... est un chef-d’oeuvre. La musique de Baker dit la permanence du changement, le courant sans fin de la vie au-delà des cycles de naissance et de mort. » Aline Gélinas, La Presse, le 8 mars 1986 “A signature piece of Les Grands Ballets Canadiens, In Paradisum is in four sections. Robert Everett-Green describes the opening section (in the CD notes to the artifact #ART026 recording) as ‘rough like a pre-Columbian dance’; and the closing section as ‘like a processional for an absent gracious spirit.’ In support of this, In Paradisum was referred to by the composer as a requiem for his mother, who had died just before he began its composition.”
Michael J. Baker In Paradisum, 1982 Commandée par : Les Grands Ballets Canadiens « La beauté de In Paradisum vient de son évolution graduelle vers l’acquiescement. Le pas cadencé des mouvements se relâche et la musique s’adoucit vers une répétition avec douceur de notes obsédantes et menaçantes, et vaguement tristes. La scène finale – de rédemption – élève l’esprit : une procession funéraire avec un corps soulevé vers le haut comme un cercueil offert vers le ciel en longeant la lumière. » Matthew Fraser, The Globe and Mail, le 8 mars 1986 « Faut-il le répéter, In Paradisum... est un chef-d’oeuvre. La musique de Baker dit la permanence du changement, le courant sans fin de la vie au-delà des cycles de naissance et de mort. » Aline Gélinas, La Presse, le 8 mars 1986 « Une œuvre qui fait partie du répertoire des Grands Ballets Canadiens, In Paradisum se divise en quatre sections. Dans les notes du CD de l’enregistrement artifact #ART026, Robert Everett-Green décrit la section d’ouverture comme étant ‘âpre comme une danse précolombienne’, et la section finale comme ‘un hymne processionnel en l’honneur d’un esprit bienfaisant et absent.’. En appuyant ceci, In Paradisum est considéré par le compositeur comme un requiem pour sa mère, décédée juste avant l’écriture de cette composition. »