Cette pièce était écrite pour The Essex Winds et a eu la première au le 1er février 1986, et a été joué beaucoup de fois par beaucoup des quintettes des bois depuis. Pour l’enregistrement en 2001 et les présentations qui suivent d’A Beckett Miscellany, j’avais la grande fortune d’avoir quatre des cinq membres originels de The Essex Winds à présenter. Le groupe était originellement situé dans Windsor, Ontario, mais les joueurs ont se disperser aux endroits disparates dans l’Amérique du Nord depuis. J’étais toujours impressionné par les habilités techniques et le sens d’esthétique de le groupe, et aussi l’humour qu’ils ont apportée aux présentations en public. J’ai voulu à écrire pour eux une pièce qui peut surligner toutes de ces habilités. Dans l’allegretto qui ouvre, les partes sont arrangées dans les groupes de deux ou trois dans les combinaisons variées. Deux parts apportent le thème principal, avec le deuxième groupe qui résonne une image en miroir de la première ; trois partes joignent avec une fanfare d’accompagnement légèr. La qualité complète et nostalgique du cor d’harmonie est utilisée pour dépeindre un paysage spacieux dans le deuxième mouvement ; puis le scherzo fournit l’humour dans le troisième mouvement. Le troisième mouvement est un palindrome. Tous les deux le menuet dans la clé d’A-bémol et le trio un peu plus inquiet dans la clé de F mineur vont révéler les mêmes pièces quand ils sont joués en arrière. Après une pédale de cor d’harmonie et une brève reprise sur la flûte, le menuet se reproduit en da capo. La virtuosité du quintette est capitalisée dans le quatrième mouvement. Somme toute, ce quintette est peut-être la plus joyeuse que j’ai jamais écrite.